Œuvre dans le cadre du Programme d’intégration des arts à l’architecture
Installation d’une œuvre d’art public qui se déploie sur deux trames temporelles distinctes : le passé, qui s’incarne dans des photos anciennes provenant de la communauté d’accueil et le présent, qui s’inscrit au travers de vastes paysages qui font découvrir quelques lieux marquants du secteur de Sacré-Cœur-de-Marie.
Ces paysages donnent à voir la terre et les ressources qui s’y greffent, tels une forêt (une érablière), un cours d’eau (le site du moulin à farine) et une prairie de marguerites avec la montagne au loin. Les espaces sont larges et comme ouverts, attendant, dirait-on, qu’on se les approprie pour les habiter autant au plan physique qu’au plan symbolique. L’œuvre cherche donc à mettre en rapport le temps passé (l’histoire) et l’époque actuelle. Cette mise en rapport se fait par le mouvement du regard allant des photos anciennes de personnes qui ont contribué à façonner la communauté, à ces grands paysages ouverts sur une nature généreuse et hospitalière qui invite non seulement à la contemplation, mais également à une sorte de réinvestissement de la part des résidents actuels et futurs.
Ces paysages donnent à voir la terre et les ressources qui s’y greffent, tels une forêt (une érablière), un cours d’eau (le site du moulin à farine) et une prairie de marguerites avec la montagne au loin. Les espaces sont larges et comme ouverts, attendant, dirait-on, qu’on se les approprie pour les habiter autant au plan physique qu’au plan symbolique. L’œuvre cherche donc à mettre en rapport le temps passé (l’histoire) et l’époque actuelle. Cette mise en rapport se fait par le mouvement du regard allant des photos anciennes de personnes qui ont contribué à façonner la communauté, à ces grands paysages ouverts sur une nature généreuse et hospitalière qui invite non seulement à la contemplation, mais également à une sorte de réinvestissement de la part des résidents actuels et futurs.